La France vit une crise sanitaire inédite : les français sont confinés chez eux et nos commerces de proximité, acteurs essentiels de nos territoires, sont désormais pour la plupart paralysés. Cette crise nous oblige à repenser nos modes de consommation et il est grand temps de privilégier au maximum les commerçants indépendants. Pourquoi ? Parce que vous limiterez ainsi vos déplacements comme exigé par le gouvernement, vous éviterez également au maximum tout contact et vous aiderez votre quartier à tenir le coup ! Vous pouvez évidemment continuer à vous déplacer dans les tous commerces de bouche (boulangeries, boucheries, poissoneries, primeurs, etc.) et/ou les contacter via notre plateforme. Pour les commerces qui ne peuvent pas recevoir de public : Veando est là ! Grâce à un simple appel vidéo, vous pouvez vous faire livrer ou venir retirer votre commande (voyez cela directement avec votre commerçant au moment de finaliser votre achat). On en profite d'ailleurs pour remercier tous les acteurs, quels qu'ils soient, qui maintiennent l'activité économique et l'ensemble des réapprovisionnements aujourd'hui en France.
En tant que consommateur et Entreprise Sociale et Solidaire, Veando se sent responsable du maintien de ce maillon essentiel de l'activité économique de nos territoires que sont les commerçants. C'est pourquoi, nous faisons notre maximum pour contribuer à leur survie. Ainsi, à partir d'aujourd'hui et pendant toute la durée du confinement, notre plateforme devient totalement gratuite : zéro coût fixe à l'inscription pour les nouveaux commerçants, zéro commission sur les livraisons et désormais zéro commission sur les ventes réalisées par nos commerçants. Nos commerces de proximité sont indispensables et nous nous devons de répondre présents : notre plateforme reste donc réservée aux commerçants indépendants et au circuit-court. Bien sûr, cette gratuité est valable pour tous les commerçants déjà inscrits sur Veando, et pour tous les commerces qui décideraient de s'inscrire à partir de maintenant.
Posté le 18/03/2020 Posté par Mathilde BONNIN dans : Economie locale